Le titre pourrait être plus explicite :
« L’argent c’est de la dette pour les citoyens, sans dette pas d’argent pour les citoyens »
Pour les banques, la monnaie, l’argent, ce sont des nombres qu’elles écrivent pour endetter les citoyens.
Pour celui qui obtient un crédit, il peut au moins essayer d’augmenter son capital, à condition d’en avoir un en garantie pour commencer. Mais au fond il se fait avoir aussi, car chacun devrait avoir droit à un crédit gratuit limité, la définition de la création monétaire souveraine.
Pour celui qui n’a rien, il peut seulement rembourser les dettes des autres, et payer les frais financiers des autres, sachant que le revenu de son travail ne lui permet même pas d’épargner : plus il travaille, plus il est pauvre. Sans compter les dettes publiques qu’il supporte aussi avec son travail.
N’oubliez pas l’étude de Margrit Kennedy : sans les frais financiers des dettes, tous les prix seraient plus bas de 50% au moins, voire 70% pour l’immobilier. http://kennedy-bibliothek.info/data/bibo/media/GeldbuchFranzoesisch.pdf
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