La capitulation en rase campagne de Syriza doit certainement affliger ses thuriféraires.
Je ne m’étonne qu’à moitié de sa rapide déconfiture, même si je croyais un peu plus en Syriza que je n’ai - en leur temps - cru aux promesses de Hollande.
Je prenais Syriza pour un aigle. Ne serait-ce qu’un étourneau ?
A la décharge de la coalition Syriza, convenons qu’elle a en face d’elle une ligue allant des créanciers internationaux à un « ultralibéralo- impérialisme » richement doté en caniches européens.
Ceci étant, soyons réalistes : la solution du grand soir révolutionnaire populaire n’est qu’un rêve pieux.