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JMBerniolles 12 mars 2015 18:09

Contester un peu Onfray, sur cet article, entraîne beaucoup de désapprobations [cela ne me dérange pas du tout que les commentaires soient approuvés ou désapprouvés, au contraire c’est comme une mesure. Qu’il faut replacer dans son contexte].


Mais si cela n’est pas accompagné d’arguments, sur la place majeure qu’occuperait Onfray dans notre philosophie moderne, qui en ces temps d’obscurantisme organisé a une importance fondamentale pour qui veut changer les choses dans le sens d’un progrès humain et social, cela manque complètement d’intérêt.

Je lis Onfray sans à priori, j’écoute aussi de temps en temps Finkielkraut dans l’esprit de ce qu’Onfray dit ici, et je suis beaucoup plus attentif à ce qu’écrit et dit Jean-Claude Michéa, qui étudie notre société, l’homme/la Femme dans le contexte de notre temps avec une démarche philosophique de références aux idées, à leurs racines, et à leur intégration dans des idéologies
J’aimais aussi assez Bourdieu. Roland Barthès.... 

Si l’on parle d’une étude littéraire et philosophique de l’Homme placé dans la société dans laquelle il vit et dans une époque, celle de l’après guerre et des guerres coloniales dont il faut rappeler qu’elles ont été principalement le fait du Parti socialiste, jusqu’au tournant néo libéral, il y a Camus.
Son oeuvre L’Homme révolté étant sans doute la plus symbolique de cela.
On ne peut écarter Sartre évidemment. Et Aragon sous l’angle poétique : Est ce ainsi que les hommes vivent, c’était un temps déraisonnable,... 

Sans que je considère cela comme péjoratif, je ne pense pas qu’Onfray aie cette dimension là.

Jean-Claude Michéa laisse par exemple le côté littéraire à Orwell.

J’ai vu dans un commentaire où l’on opposait à Freud, la neurosphychologie qui se développe beaucoup actuellement dans pas mal d’Universités. C’est très intéressant et beaucoup plus positif que lorsque c’est la CIA qui mène les recherches !

C’est une méconnaissance de l’oeuvre de Freud. Il s’est attaqué en tant que praticien à des maladies mentales qui n’avaient pas de support organique repéré à son époque. Donc il a bien fait une démarche de neuropsychologue pour savoir que la schizophrénie par exemple, n’avait pas de cause organique connue à son époque.











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