« Ensuite, l’énorme écart de développement économique, avec des salaires mensuels qui se chiffrent en dizaine d’euros en Afrique, fait de notre continent, et notre pays, un eldorado où les simples aides sont bien plus importantes que ce que peuvent gagner les travailleurs de l’autre côté de la Méditerranée. »
N’exagérons rien ! La politique volontariste de la BC€ et de la Troïka œuvre avec constance à la réduction de cet écart de développement entre l’Afrique et notre continent ce qui - au rythme où c’est parti ! - permettra très bientôt de le classer à la rubrique des souvenirs du « bon vieux temps ».
Quant aux aides, il n’y a aucune raison qu’elles survivent au démantèlement en cours des derniers vestiges (chômage, pensions, sécurité sociale, allocations familiales, ...) de l’"état-providence.
D’une pierre deux coups, la restauration de notre compétitivité mettra de fait terme à l’immigration.
Cynique ? A peine !