« Il existe une rupture épistémologique entre le »monde« des neurones et celui des idées ». Juste, mais, avant cela, il urge de dire qu’il existe d’abord une rupture entre le « monde » des neurones et celui des sensations ou des affects. En tout cas que le passage de l’un à l’autre tel qu’il se conçoit dans la théorie de « l’espace de travail conscient » et, tel qu’il est exposé par Dehaene dans son livre : « le code de la conscience » n’est pas le bon. C’est ce que je développe dans mon article : « Stanislas Dehaene nous a-t-il donné le »code de la conscience« ? »