Il est clair que ce « marché » est nettement surévalué, surtout si on regarde de plus près la valeur technique des biens à vendre (passoires thermiques dans l’ancien - qualité d’exécution et des matériaux dans le neuf). Les diagnostics obligatoires, aussi imparfaits qu’ils soient, commencent à faire leur effet éliminatoire.
Les jeunes primo-accédants ne veulent plus de travaux qu’ils auraient d’abord du mal à évaluer puis à financer. Résultat : ils attendent que ça baisse encore. En face, les vendeurs se crispant sur leur prix, la machine se bloque et ces vendeurs ne pouvant pas se payer leur futur projet, c’est l’effet domino. Tant qu’il n’y aura pas eu une correction des prix sérieuse, l’immobilier continuera à survivre sous perfusion (merci l’État…)