Ce que je retiens de votre article est le droit de chacun à être en sécurité et donc à l’abri sous un toit accessible à tous.
Il y a la solution d’imposer très lourdement les résidences qui ne sont pas occupées à plein temps et peut être également celles qui ne correspondent pas à un besoin réel comme une personne seule vivant dans 400 m2, seulement qui prendra une telle décision, ceux qui sont en situation de légiférer sont, eux ou leurs amis, des grands propriétaires.
Où est la limite d’une telle mesure autoritaire, un couple vivant seul sous un toit dont les enfants sont partis pour vivre leur vie doit-il laisser la place à une famille plus nombreuse, sachant que les enfants (et petits enfants) reviennent régulièrement rendre visite à l’occupant initial ?
Il est souhaitable que la société se pose de saines questions sur la propriété, la succession, la location qui est une forme d’usure, la vie en communauté, mais notre société - donc nous - ne veut le changement que pour les autres. Dans un monde surpeuplé un toit pour tous suppose une évolution des conscience.