Comme d’habitude avec Dugué, toutes les prémisses sont délirantes, sont des coq-à-l’âne dignes des personnages de Molière ou de Rabelais, les seigneurs de Baisecul et de Humeveine notamment.
Désolé pour W. Zurek, qui ne méritait probablement pas une fin aussi consternante : c’est un gloubiboulga infâme. Le cas de W. Zurek ne relève plus de la communauté savante, mais du clinicien. Condoléances.