Je viens de vous lire sur « Les Crises » ; j’aurais pu le faire sur « Le Grand Soir ».
Je suis en accord total avec votre texte.
Mais il faut souffrir dans sa chair pour pouvoir réagir ; combien de morts encore faudra-t-il pour que le peuple français se bouge, sans attendre 2017 et mettre l’extrême-droite au pouvoir ?
La gauche est molle, la gauche est boboïsée ou alors obsolète et recluse.
Nous commençons la descente vertigineuse et chacun sait que la peur est mauvaise conseillère ; nous allons nous entredéchirer, gauche/droite, bougnoules/souchiens, bobos/prolos... un feu d’artifice ce sera si nous n’y prenons pas garde...