Il y a une solution au problème soulevé par notre ami Salah dont la contribution, derrière son apparente douceur et son sophisme impeccable, à pour objectif de nous inciter à prendre le parti de nos ennemis contre nous mêmes et de nous laisser gentiment faire, au risque de nous retrouver, un « beau jour », par renoncement successifs, tels les royaumes wisigoths de l’Espagne du VIIIeme siècle, phagocytés par des dirigeants faillis, la terreur étrangère, la conquête militaire... et le coran...
La solution à laquelle je songe est simple et efficace quoique décriée et difficilement envisageable, pour l’instant, par l’immense majorité d’entre nous.
Je m’attends donc à recevoir, en retour de ce post, des tombereaux d’injures et de noms d’oiseaux.
Mais là n’est pas la question.
La solution que j’évoque ici ne quémande rien à la police, à l’armée, à la justice qui non seulement sont impuissantes à prévenir toutes les attaques terroristes mais qui, instrumentalisées ou manipulées par une oligarchie lâche ou irresponsable, rognent de fait nos libertés (sur ce point l’ami Salah n’a, malheureusement, pas tort).
Cette solution refuse de faire plus longtemps une confiance aveugle aux partis politiques ( y compris et peut-être surtout au front national), partis qui par faiblesse idéologique ou intérêts économiques à courte vue, ont TOUS laissé et laissent encore s’implanter salafisme et wahhabisme dans nos têtes, nos villes, campagnes, quartiers et cités...
C’est une solution populaire et engagée qui sera démocratique si telle est notre volonté.
Une solution qui préfère à l’illusion d’une sécurité défensive venue des institutions, la liberté d’action offensive d’un soulèvement populaire.
Elle prend pour modèle la Commune de Paris et la lutte anti-nazi...
Son unique défaut, pour les courageux qui voudraient la mettre en œuvre, est d’être illégale et risquée...
Elle a pour nom « résistance populaire armée ».
Cette résistance part du principe qu’on ne combat un ennemi mortel ni par un régime d’exception, ni par des bons sentiments, ni par le déni de la réalité, ni en trinquant aux terrasses dans l’attente du prochain carnage.
Elle consiste en quelques mesures radicales :
1) ne plus tolérer qu’un seul quartier soit organisé autour d’une mosquée salafiste ou wahhabite (Mantes la Jolie, quartier Couronnes à Paris, etc...), en l’attaquant, si besoin par les armes.
2) détruire par tous moyens (y compris violents) toute mosquée qui diffuse, promeut, revendique le salafisme et le wahhabisme.
3) mettre à bas toute entité ou institution (centres culturel, centres
confessionnel, commerces, etc...) lorsqu’elles sont soupçonnées de faire la promotion même indirecte du salafisme et du wahhabisme.
4) nous débarrasser par l’expulsion, l’enlèvement ou l’élimination physique tout personnage, imam, prédicateur sauvage ou simple quidam, qui se ferait propagandiste ou soutien, même pacifique, du salafisme et du wahhabisme.
5) pourchasser dans nos rues toute femme bâchée de noir, de marron, de vert pistache ou de rose fuschia et tout individu qui se balade dans une tenue ostentatoirement mahométane.
6) ne plus tolérer un seul discours et une seule attitude hostiles à ce que nous sommes et aux principes qui sont les nôtres (je ne parle pas de « valeurs »... les valeurs sont le langage des politiciens, des médias et du marché mais pas celui d’un peuple en armes...)
7) ne plus tolérer qu’un seul citoyen puisse jouer sur l’ambigüité de sa double appartenance et de sa double nationalité, c’est à dire obliger les binationaux issus d’un pays islamique - quel qu’il soit - à nous choisir ou à partir.
etc, etc...
J’ai bien conscience que ce qui est écrit ici paraîtra explosif et en fera bondir plus d’un.
Mais - et c’est la seule référence qui me semble coller à la situation actuelle - on peut se demander s’il n’eût pas été plus judicieux d’écraser par une réaction préventive violente, les bandes nazis dès1930 plutôt que d’attendre pour le combattre enfin, que le nazisme, désormais constitué en état, écrase l’Europe au prix fort élevé de 60 millions de morts et de la destruction de tout un continent...
Car je suis convaincu que si, comme les démocraties européennes de l’entre deux-guerres, nous ne réagissons pas vite et fort, nous serons, sans aucun doute, défaits...
Et quelle que soit la forme que prendra notre défaite - guerre trop tardive, occupation sanglante, soumission ou finlandisation -, la guerre contre le salafisme et le wahhabisme sera perdue pour des siècles...
Comme étaient timorées les démocraties européennes du siècle dernier, c’est parce qu’ils furent divisés et pusillanimes que les royaumes wisigoths de l’Espagne du VIIIeme siècle furent - en 20 petites années - vaincus, conquis et humiliés par quelques milliers de combattants arabo-berbères sûrs de leur fait et impitoyables.
Il fallut 8 siècles de guerres et d’efforts incessants de toute l’Europe pour les renvoyer d’où ils étaient venus...
Le choix est entre nos mains.
D’autres attentats auront lieu.
Nous le savons tous.
L’ami Salah nous conseille de désavouer nos dirigeants et d’attendre que ça arrive pour n’avoir plus qu’à nous jeter dans les bras de daesh.
Je lui réponds très tranquillement que s’il ne s’agit pas de prendre les armes dès demain, nous ferions tout de même mieux de préparer une riposte à la mesure du jour où nous serons de nouveau la cible de massacres de masse.
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