Ce qu’il y a de bien avec ces omniscients de
naissance qui jouent les métrologues sans jamais avoir appris le métier,
c’est qu’ils vont coqueriquer à chaque passage de camion dans la rue, à
chaque dilatation thermique qu’ils n’avaient pas prévue, à chaque
broutement mécanique de leur cafouillazibule mal construit, à chaque
souffle de l’opérateur qui ébranle leurs miroirs à deux sous...