L’économie des Etats-Unis tient sur la guerre donc toute guerre est bonne à prendre.
« Pour les hérauts du capitalisme, l’enjeu commercial premier de ces deux guerres (Irak, Afghanistan) n’a jamais été la captation des richesses des pays en question mais la guerre elle-même, source d’immenses profits ».
Doa, Pukhtu, Gallimard, 2015, p.288-289.
La privatisation d’une partie des actions dévolues antérieurement à l’armée ne fait que renforcer ce besoin de guerres pour l’économie étazunienne, d’autant plus que celles-ci ne se déroulent pas sur son territoire.