Pierre Régnier :
On a beaucoup répété, ces derniéres années, la juste et belle
assertion d’Albert Camus : "Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur
du monde".
Mais des intellectuels comme ici l’auteur de l’article - et beaucoup
d’autres beaucoup plus médiatisés - veulent continuer de mal nommer les choses
pour empêcher à tout prix que soient analysées certaines réalités de plus en plus
évidentes, comme la violence constitutive,
théologique, de l’islam.
Ils se font alors clairement complices de la pérennisation de cette
violence.