Avant de se perdre en subtilités dialectiques, il faut répondre aux deux questions fondamentales sur le sujet, à savoir :
- L’islam est-il détestable ?
Oui, évidemment. Il suffit pour s’en convaincre de lire le coran, l’alpha et l’oméga de l’islam. Peut-il être aimable cet agglomérat d’insanités, d’appels au meurtre, de condamnations à l’enfer des infidèles ? Peut-on rester simplement indifférent alors que l’islam manifeste encore et toujours sa propension à la violence, en particulier dans notre pays ?
- Les musulmans sont-ils détestables ?
L’islam étant détestable, les musulmans suivant strictement les préceptes de leur religion ne peuvent guère nous être sympathiques. Sont-ils majoritaires ? Je l’ignore, mais en France ils ne sont sûrement pas une minorité négligeable, et il est certain que leur proportion augmente. Combien de musulmans fréquentaient régulièrement les mosquées il y a dix ans, et combien aujourd’hui ? Combien de musulmans sont descendus dans la rue pour protester après le massacre des gens de Charlie, et combien ont pensé « Allah a puni les blasphémateurs » ?
Dans ces conditions, lorsqu’on croise un musulman, la raison incite à se demander à quel point il l’est, et dans le doute, à s’abstenir de l’aimer immédiatement de tout coeur.