Cet article ne fait que reprendre les propos du président de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA), M. Yukiya Amano, deux jours après les attentats de Bruxelles :
« Le terrorisme se répand et la possibilité que des matériaux nucléaires soient employés ne peut pas être exclue ».
Très peu d’experts pensent que le groupe Etat islamique puisse un jour se doter d’une arme atomique, mais beaucoup craignent que les djihadistes s’emparent d’uranium ou de plutonium pour tenter d’assembler une « bombe sale ». Un tel engin ne provoquerait pas d’explosion nucléaire mais la diffusion de radioactivité aurait de terribles conséquences sanitaires, psychologiques et économiques.
Sur cette question, Obama doit accueillir une cinquantaine de dignitaires étrangers, parmi lesquels ses homologues chinois Xi Jinping, et sud-coréenne Park Geun-Hye. Mais le président russe Vladimir Poutine, et les dirigeants d’Iran et de Corée du Nord, n’ont pas été invités. Pourquoi ?