S’il est une usurpation flagrante qui fait l’unanimité, c’est bien le droit des sociétés privées autoroutières à réaliser des profits sur le dos des usagers et des contribuables qui s’avèrent être souvent les mêmes.
Du PCF aux Républicains, jusqu’au FN, qui n’a pas dénoncé de bandits de grands chemins modernes ? Et on en est toujours au même point.
La seule vraie solution c’est de rendre à César ce qui lui appartient, résilier les concessions dignes des l’organisation de la perception des taxes par les fermiers généraux, et remettre à l’état ce qui lui appartient. Même si le tarif des péages reste le même, on pourra toujours imaginer que cette ressource sera réinjectée dans l’entretien et le développement ou, pourquoi pas, dans un investissement d’intérêt public.
Dors-je ou suis-je éveillé ?