@janel
.Léonard
Cohen ainsi que son parolier n’ont rien compris. Pas compris qu’il y
eut dans la résistance beaucoup de victimes en représailles, de
fusiliers pour l’exemple et qu’en conséquence de tout ça beaucoup
de tombes parsèment la campagne de France.
Ce
vers « le
vent souffle sur les tombes »
symbolise le temps qui passe, ne dites pas non. Avec le temps qui
passe la liberté reviendra . Du moins, c’était cet espoir qui
existait en France 1943.
Et
toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera et cet oubli qui
deviendra irrespectueux avec cet abruti de Sarkozy.
Et
toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera. Qui donc se
souvient aujourd’hui réellement des résistants pris
individuellement ? Personnes.
Cette
strophe signifie donc qu’un résistant rentrera dans cette ombre
qu’est la clandestinité, et qu’il en sortira pour se battre en plein
jour au moment de la libération et toujours avec le temps qui passe,
le résistant s’en retournera dans l’ombre qu’est cette vie
ordinaire des gens qui vivent dans l’anonymat comme vous et moi qui
ne sommes que des inconnus.
Donc
cette strophe résume bien la vie d’un résistants qui est entré
dans l’ombre pour n’en sortir qu’en se battant afin d’y mourir pour
sombrer de nouveau dans l’oubli qui lui aussi est une sorte d’ombre.
Tandis
que cette strophe corriger par Léonard Cohen a perdu toute de
signification.
Tu
parles d’un beau prix Nobel qu’il aurait pu faire ce Cohen à la
place de l’autre Bob.....