A chaque génération, nous rappelons inlassablement notre serment :
« Si je t’oublie, Jérusalem, que ma (main) droite m’oublie. Que ma langue s’attache à mon palais si je ne me souviens toujours de Toi, si je ne place Jérusalem au sommet de toutes mes joies »
Car nous savions que « l’an prochain à Jérusalem » et nous sommes revenus à Jérusalem, dans sa totalité.