Effectivement, le totalitarisme a fait des progrès. Remarquablement civilisé, il s’est aperçu que la mort sociale d’un individu pouvait satisfaire ses desseins.
Mais évidemment, tant qu’il n’y a pas mort d’homme, pourquoi s’en préoccuper ? A mon sens, seule l’officialisation d’un état sépare, in fine, la mort physique de la mort cérébrale (dans le sens d’une capitulation de la pensée...)... Pour le reste, les conséquences sont rigoureusement identiques : on est hors de la vie.
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