D’ailleurs, c’est dans ces élans de volontarisme que Sarkozy fait des promesses qu’il ne peut honorer. Mais il laisse bien sûr à ses lieutenants la tâche de rectifier le tir. Lui ne concède aucun doute, aucun échec. Il a effectivement la carrure d’un grand chef d’état, comme un Georges Bush clamant la victoire en Iraq quand il sait que le contraire se passe sur le terrain...
Alors à choisir...