Il doit sans doute lui arriver parfois de ne plus savoir trés bien ce qu’il dit, a force de parler pour « ne rien dire », comme on égréne un chapelet, comme un moulin à vent, on se prend les pied dans le tapis mais ces paroles sont surtout révélatrices à mon sens d’une incommensurable... « fatigue »... Oh ! « solitute du représentant » absolument détaché du « représenté »