Aung San Suu Kyi n’est ni Nelson Mandela
Aung San Suu Kyi dirige un pays qui est sorti de la colonisation pour entrer dans la dictature, et une dictature assez dure puisque dictature militaire.
Aung San Suu Kyi a choisit de faire entrer son pays dans la modernité en adoucissant sa politique par l’intégration de forces vives au détrimant des militaires.Mais la Birmanie reste la Birmanie et si les birmans veulent préserver le peu de paix qu’ils ont, ils se doivent d’éviter autant que possible que l’appareil d’état militaire soit mis à mal par des actes terroristes. Il ne vous a pas échappé qu’aujourd’hui, le terrorisme est trusté par les islamiques.
La Birmanie fidèle à ses méthodes répond à ce problème par une épuration ethnique de tout ce qui peut représenter l’islam dans son pays. L’Inde en a fait de même et le Sri lanka en ferra de même avec les Tamouls.Ce n’est pas du tout humaniste, mais c’est ce qui se passe partout où des minorités religieuses co existe. Cf L’Egypte et ses coptes etc.
Aung San Suu Kyi, pour plaire aux occidents ne va pas se couper de son peuple qui ne veut pas entendre parler de Daesh. Elle a fait son choix et je ne peux que l’en féliciter. C’est un bel exemple de « réal politic »
Nelson Mandela a choisit l’union par le pardon. Il a presque réussit presque