L’auteur nous dit : « , mais que l’algorithme est inviolable. ».
C’est toujours ce que disent les constructeurs de forteresses, mais les artilleurs ont toujours une longueur d’avance.
Je trouve l’auteur un peu naïf de penser que quoi que se soit est inviolable. On peu certes compliquer la vie des attaquants, leur rendre la tâche difficile, très difficile même, mais la rendre impossible, non.