Bonjour, Axel
La phrase de Flaubert est en effet... « lapidaire », au propre comme au figuré.
Les champs de menhirs de Carnac, c’est au printemps, lorsque l’herbe est verte et les ajoncs en fleurs, qu’il faut la visiter, et de préférence à la lumière de l’aube ou du couchant lorsque les ombres portées des pierres se couchent sur le tapis herbeux. A cet instant, c’est magique ! Et peu importe alors l’origine des alignements tant la contemplation est superbe !