« Il ne s’occupe que des intérêts de la sphère financiaro-communicante, d’une petite oligarchie d’hyper-riches dont il est le souteneur. »
Pas le souteneur, mais le serviteur. Sans les capacités d’influence de cette sphère Macron, petit freluquet illustre inconnu trois mois avant la présidentielle, n’aurait eu aucune chance d’être élu.
Mais Macron par lui-même n’est absolument rien du tout. Il accomplit les mots d’ordre qui lui sont dictés. Quand il sera suffisamment discrédité, le système sortira de son chapeau un autre politicien du même tonneau, qu’on présentera comme « jeune » et « dynamique » et « révolutionnaire », etc., pour lequel le con moyen zombifié par la TV s’empressera de voter...