Outre les membres du gouvernement, quelques personnalités politiques affirment cependant leur soutien à l’action en Syrie. Manuel Valls approuve une « décision qui s’imposait ». « La production et l’utilisation d’armes chimiques par le régime syrien contre son propre peuple ne pouvaient rester sans réponse forte et proportionnée », affirme l’ancien Premier ministre. Interrogé sur BFM TV, Hervé Morin salue des frappes « proportionnées » et « légitimes », mais reste méfiant quant à une action commune avec Donald Trump.
Le président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde soutient également « Emmanuel Macron dans sa décision », et attend désormais la construction d’une « solution politique ». Stéphane Le Foll, approuve lui une action « nécessaire » de la France, qui « se devait de porter une voix diplomatique forte ».