Il est vrai que les médias grand public font peu de place à la science (et à la philosophie des sciences). Mais Internet est là pour permettre aux scientifiques de s’exprimer, s’ils veulent s’en donner la peine. Ils trouvent alors des lecteurs. Notre revue Automates intelligents, outre ses milliers d’abonnés, reçoit sur le site un nombre pharamineux de visites, de toutes les sortes possibles.