Il parait un peu illusoire d’imaginer que nos voisins allemands, Chancelière, industriels et populations teutonnes aient, à un moment quelconque de leur histoire contemporaine, imaginé, comme ce fut de cas en France durant les 4 ou dernière décennies, de saborder leur industrie et commerce extérieur ?
Que maintenant l’économie allemande vise à sécuriser la solvabilité de son marché intérieur, EU, que lui a offert notre classe politique eurobéate sur un plateau de vermeil,
monnaie unique en supplément, voulue et imposée par Mitterand et sa majorité électorale (stratagème d’inspiration Eugène Maginot issu de cerveaux passablement perturbés et déficients),
la démarche procède d’une certaine logique inaccessible à nos nos strates dirigeantes.
Qui a bien pu s’avancer à déclarer, aux lendemains du dernier crash boursier
« l’euro nous protége » ?