L’imaginaire
peut alors être partout, il n’y a pas forcément un vecteur spécifique du voyage
onirique. Je rencontre des enfants ’addict’ aux jeux vidéo en ligne ou non, qui
à défaut de jouer avec un morceau de bois et des pinces à linge, s’imaginent
sauveurs, attaquants, défenseurs, et au final ce qu’ils peuvent !
C’est à craindre qu’il n’investissent rien d’autres ou qu’ils abandonnent
aussi, ceux qui les ont abandonnés, et là on parle d’amour.