« Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».
Votre déception est compréhensible et je la partage évidemment mais il aurait, à mon modeste avis, mieux valu nourrir un minimum de méfiance à l’endroit de celui que vous avez contribué à mettre en place, avant d’utiliser votre bulletin de vote.
Maintenant, je vous le concède, faute avouée, faute à demi pardonnée. Mais à demi seulement !
Cordialement.