@Nicole Cheverney
2 rectifications :
Remarque au passage : De Gaulle n’est pas parti à Londres sans biscuits mais avec d’énormes moyens financiers. C’est ce qui lui a permis d’agréger beaucoup de ralliements. Arrivé là-bas, il a dû se débarrasser d’un rival : l’amiral Muselier (le grand-père de Renaud Muselier), car Churchill n’était pas du genre à mettre tous ses œufs dans le même panier. Leur entrevue à Londres a failli mal tourner car tous deux étaient accompagnés d’hommes de main armés et prêts à défourailler (comme on dit chez Audiard).
Moralité : rien n’est possible sans soutien politique (celui de Churchill fut déterminant) et sans argent !
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