68 et le mois de mai. C’est l’adolescence, les idéaux, l’efflorescence des rêves,...mais il manque : le réel, le poids de la réalité et des apprentissages. Décembre, c’est l’hiver, le temps de la lecture, de l’école, des cartables avec de la neige, les cahiers mouillés par la pluie. Les rêves de prendre un coup de froid. C’était beau, mais nous n’étions pas mûrs,... 2018. dans le fond du cartables restaient quelques idées non accomplies. Et si, .....