J’aurais d’emblée tendance à être sceptique face à un article qui se dit rationnel et cartésien. Je suis très partagée sur la question d’Israël. Freud y était opposé. Ayant lu Shmuel Trigano : l’esprit du judaïsme, je reste neutre sur la question. Beaucoup de juifs pensaient que l’antisémitisme provenaient en grande partie de leur caractère « errant », sans terre ou attache, comme les Roms. Le « bonheur dans le pré » ne serait-il pas autorisé aussi aux juifs, et n’auraient-ils pas aussi le droit d’avoir les même défauts que les goys ? Je m’abstiendrai de trancher la question.