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En réponse à :


JL (---.---.73.200) 30 mars 2007 10:59

A lire certains commentaires, serait psychopathe d’entreprise qui veut. On pourrait être psychopathe d’entreprise sur commande. Selon moi, il y aurait alors deux types de PE en entreprise : les vrais psychopathes qui relèvent de la psychiatrie, et les psychopathes institués parce que ce serait une pratique admise, voire encouragée par la Direction (cf. le commentaire de Le Vénérable du sommet).

Sur un autre fil à relier à celui-ci parce qu’il traite selon moi, ’en creux’ du pb des psychopathes en général,

« Borderline... of life ? d’Azür »

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=19442&id_forum=461474&var_mode=recalcul#commentaire461474

Je me de recopier ici le commentaire que j’y avais fait :

«  »Parent psychopathe et enfant borderline d’un coté, parent borderline et enfant psychopathe de l’autre ? Y a-t-il une symétrie ? J’ai tendance à penser que les psychopathes s’en sortent plutôt bien dans notre société de plus en plus dure, pas les borderlines. Plus précisément je dirais que l’augmentation des cas borderlines est directement liée à l’augmentation de la psychopathie, laquelle serait une maladie typique de nos dissociétés au sens que lui donne Jacques Généreux dans son ouvrage, et selon son expression : « peuplées d’individus dressés les uns contre les autres ».

Les borderlines subissent une ’double peine’ (voir mon post précédent) et les psychopathes s’en sortent indemnes. La psychopathie et la ’dissociété’ comme nouveau pb de la poule et de l’œuf. «  »


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