La logique de Vincent Bernard au moins, est inattaquable : résumons : comme la « gôche », les libéraux veulent que la France devienne un espace où l’on entre et d’où l’on sort à volonté : c’est la liberté totale de circulation et il n’existe plus de sans-papier, puisque tout le monde est régularisé.
Mais, si l’on veut éviter la faillite totale avec l’arrivée de cinq cent millions de miséreux affamés, il faut supprimer les incitations à venir selon le principe : tu viens, tu te débrouilles.
Au nom de l’égalité, tout le monde est logé à la même enseigne : les indigènes (les « de souche ») et les arrivants. Donc finis les allocs, le RMI, la CMU, les trente cinq heures, le Smic, les subventions, le droit au logement, l’aide à l’insertion pour ceux qui commettent « des incivilités », mais moins d’impôts, moins de fonctionnaires, moins d’oisifs et davantage de vrais travailleurs.
vraitravailleur
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