Je ne connaissais pas ce concept de tourisme digital chez les pauvres.vu qu’on ne veut pas risquer une contagion de gâle ou autre peste,vu qu’on a peur de détruire ses nerfs olfactifs avec d’obscènes odeurs mais qu’on veut ressentir ce frisson du reporter de guerre,on va sur les sites Facebook de pauvres pour une étude poussée de la sociologie de ces gueux, une héroïne qui a tout piqué à apathie quoi !