2eme partie
supposons que Macron soit soudainement prit d’une crise démence, qu’il égorge sa femme a grands coups de couteau. sa folie étant avérée on l’enferme. Mais il est toujours président que faire : le destituer. on prendra n’importe quel prétexte on étoffera le dossier Asselineau et le choix politique sera vite tranché.
comme quoi si il y a la volonté politique on pourrait destituer un président. le tout est d’avoir cette volonté, et dans ce cas le dossier de l’UPR deviendrait parfaitement applicable et cohérent.
dans ma candeur en écrivant au député pour qu’il enclenche la procédure de destitution j’ai cru qu’il y aurait eut une dizaine de réponses a cette appelle. cela aurait permis un rapport de force entre le président qui se croit tout permis et une chambre représentant le peuple. une mise a l’ordre. quand est il maintenant ? devant l’absence totale de réponse ou presque (un député) Macron a maintenant les mains libres car comme le dit le dicton « qui ne dit mot consent » et le voila rehaussé dans sa légitimité face a la nation. a croire que les élus de l’opposition ne comprennent pas la politique.
devant l’impossibilité flagrante de faire aboutir cette démarche , l’essentiel n’était pas la destitution mais de faire un pole d’opposition cohérent autour d’une formulation légale. Hélas vous nous avez pas suivit
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