« Avoir ou non un enfant, que cela vous plaise ou pas, relève du choix de la femme, car elle est seule à en être capable. »
Pendant des millénaires, les sociétés humaines ont été organisées à partir d’un groupe de personnes interagissant entre elles, spécifiant des lois, des rites, des traditions, dont la religion constitue en règle général le ciment, avec protection de la famille, du patrimoine et de l’héritage, c’est ce qu’on appelle le bien commun.
La stabilisation d’une société repose sur la transmission de ce patrimoine, du savoir accumulé, pour qu’elle puisse prospérer et se perpétuer de générations en générations.
Et qui permet cette régénération ? Les enfants, qui représentent l’avenir de la société.
C’est pour cela, que dans les sociétés humaines, une femme n’a pas le droit de vie et de mort sur son enfant, car il est un bien de la communauté.
Le culte maçonnique des « droits de l’homme » est une grave anomalie favorisant l’individualisme, le confort, l’égoïsme et l’instantané (je veux tout, et tout de suite), au détriment de la communauté.
Cette idéologie permet aux femmes de nier tout sacrifice envers la communauté, en particulier la décision volontaire et assumée de ne pas vouloir enfanter.
Ce qui conduit à terme, à une extinction de toute la communauté, et son remplacement.