Après l’éviction de Raphaele Correa, qui doutait encore que l’Empire se limiterait à tenter de virer le seul Maduro de son pré carré sud-américain ? Et ce d’autant que non content d’être « socialiste » (au sens étymologique du mot !), Evo Morales cumule la tare d’être d’origine indienne !
Pour le reste, depuis les « printemps arabes » et autres « révolutions de couleur » soigneusement orchestrés sur Facebook, Twitter et par le rouleau compresseur de la lobotomisation médiatique, le scénario est aussi invariable que parfaitement rôdé.
Il connaît néanmoins quelques sévères failles, sans quoi ni Maduro ni Assad ne feraient encore les « unes », mais dans sa suffisance, l’hubris impériale n’estime heureusement pas utile d’en changer, ce qui — d’ici que l’effondrement en cours du bloc occidental soit total - laisse quelque espoir aux Syriens, aux Vénézuéliens, aux Boliviens, ... et tout peuple se voulant authentiquement souverain !