Ce matin, dans une petite ville où nous manifestions, un gars de la CFDT, les larmes dans les yeux, a prononcé un discours où il désavouait publiquement sa confédération et demandait la destitution du secrétaire général. Déjà en 2003, les syndicats CFDT locaux descendaient dans la rue pendant que la confédération restait bien au chaud.