Le problème « Macron » est exactement celui du PDG sur qui on crache pour calmer les tensions sociale lorsqu’il annonce des licenciements massifs. On se trompe simplement de cible.
Macron est exactement comme Merkel (en moins brillant), c’est une girouette à la solde des grands actionnaires qui rêvent d’un monde où les peuples seraient totalement à leur merci — à savoir sans protection aucune, un Etat faible et manipulé par eux-mêmes, corvéables à merci et ne se posant aucune question (qui amènent à demander des comptes voire plus).
En fait, sa violence apparente est finalement une « bonne chose ». Les autres « présidents » — qui n’ont de « président » que le titre — étaient trop mielleux et fins diplomates, c’est pourquoi ils nous ont tous endormi pour commettre leurs méfaits.
Ici, et ce depuis l’ètre Sarkozy, les masques sont tombés et on se prend leur violence — autrefois diffuse et « souterraine » — en pleine tronche. Les intentions du « capital » sont maintenant très claire (ils ne s’en cachent même plus).
Le « problème » à présent...c’est les Français. Vont-ils encore rester passifs — alors qu’ils ont laissé passer leur seule chance (les GG) de créer une société plus juste — jusqu’à la dissolution de leur société et valeurs...ou vont-ils enfin réécrire les règles du jeu ?
Pour l’instant, ils ont surtout choisi la lâcheté et de se planquer la tête sous le sable en espérant que le tsunami passe.
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