Excellent article.
Monique Pinçon-Charlot dit : « Peut-être, et je dis bien peut-être car je ne suis pas médecin, que
si les services publics de santé étaient considérés comme des
investissements et non pas comme des dépenses, si les laboratoires
pharmaceutiques n’avaient pas délocalisé à l’étranger la production des
médicaments, si nous avions eu des masques et des tests, il y aurait eu
peut-être une autre solution que le confinement. »
Ce n’est pas une faute de ce gouvernement qui est dénoncée là : c’est une volonté de gouverner par le chaos. C’est une haute trahison d’un chef d’État à l’encontre du peuple qui l’a élu.