Pour moi il y a longtemps que je n’écoute plus « la voix de son maître ».
Télé, radio, publicité omniprésente, je m’en suis débarrassé. Je connais la propagande, bien sûr, mais je ne la laisse jamais m’atteindre au premier degré. Il suffit d’attendre huit jours pour que les « nouvelles » soient fanées et ne puissent plus s’attaquer à mon affectif.