Bonjour François,
C’est votre vrai nom ? Il me fait penser à un drame, mais pas un drame de chasse.
Bienvenue parmi nous, et bon article.
La phrase la plus vraie et que je partage totalement :
« Ils voudraient donner aux prédateurs des aliments de substitution »
me fait frémir d’angoisse et me fait rire en même temps.
Je ne crois pas que mon chat aime le gratin de potiron par exemple, ou que les faucons qui niches dans mon ancien pigeonnier se régaleraient un jour des mûres de ronces !
Et je pense à mon père, capable de se geler durant des heures derrière un énorme laurier pour guetter les merles, les ortolans ou les grives.
Dans les années cinquante, c’était la fête à la maison lorsqu’il apportait le produit de ses chasses.
Mais les temps ont changé.
Je pense aussi aux habitants de l’Alaska, tout près du cercle polaire. Que mangeraient-ils s’ils ne chassaient pas ?
Les antispécistes sont comme les végans, de bizarres humains qui n’acceptent pas leur nature d’humain.