Les instituts roulent-ils vraiment pour quelqu’un ? Ce qui voudrait dire qu’ils ont une information suffisamment pertinente sur l’état de l’opinion pour bidouiller les chiffres afin de la faire évoluer. Qu’on me permette d’en douter.
Je pencherais plutôt pour le traditionnel emballement des zélotes qui, prenant à bras le corps un concept qui les dépassent, en font tout en n’importe quoi, et, même une fois que cela est visible, n’osent s’avouer dépassé, risquant de remettre en cause leur crédibilité, et bien plus grave, le revenu de leurs actionnaires.
J’ai bien peur que le principal moteur humain soit la médiocrité et la lâcheté.