Un homme qui déclare « liquider » l’esprit de mai 68, ne peut être que méprisant envers le dialogue social et les syndicats. Son refus de tout débat et son caractère très autoritaire ne font que renforcer l’idée que Sarkozy établira un pouvoir personnel, renforcé par un UMP surpuissant et peu démocratique, rangé comme un seul homme derrière son chef.