@ seb
Il faut considérer les gens handicapés comme des handicapés, et non comme des gens ordinaires.
Ne pas faire la distinction, c’est de leur oter leur identité, rendre banal : « s’il est banal que doit t’on faire pour lui ? si ce n’est l’ignorer dans le métro ou dans le bus etc... ». C’est abjecte.
Tout autant, que la négation de leur sexualité par la stérilisation.
Au pourquoi de cet article, on pourrait faire un rapprochement avec les propos eugéniste de certains candidats... Et imaginer dans le futur une politique qui consisterait pour le bien de la société étendre la politique de stérilisation à tout patient génétiquement défectueux (tant atteint de cancer ou mucoviscidose, que les enfants de 3 ans potentiellement sociopathes...).
Le sujet est suffisament grave et douloureux pour en parler et lever ce tabou.
Je repproche juste à l’auteur un titre trop passe par tout.