Si l’on ne voulait pas de Sarkosy, il fallait peut être mettre quelqu’un d’autre que Ségolène pour l’arrêter.
La voix de Ségolène, la photo de Ségolène, son omni-présence dans les médias, alors qu’elle hurle le contraire me font l’effet inverse de celui recherché.
Si ce sentiment se généralise, ce n’est plus une élection, c’est un plébiscite qui se prépare.