Ca nous rappelle l’heureuse époque de Papi Allende.
Mais maintenant que Moscou n’est plus là pour tirer les marrons du feu sud-américain, on peut se réjouir de la course au fiasco de Chavez, sans aucune arrière crainte
Et de celle du Bolivien aussi... ’tain, j’arrive jamais à me souvenir de son blaze...