Il y en a quand même qui ne sont jamais contents !
Après avoir (à juste titre) critiqué les années d’immobilisme chiraquien, voila que le mouvement imprimé ne leur convient pas non plus.
Les plus fervents défenseurs de la baisse de la dette sont devenus les gens qui balayaient le problème d’un revers de main. Tant mieux si leur prise de conscience est sincère bien qu’on l’imagine un peu de circonstance.
Il est vrai que ça décoiffe un peu, que ça fait bouger les lignes. On perd ses repères : Libération, Le Monde, Le Nouvel Obs ne savent plus trop s’il faut critiquer ou observer prudemment avec une certaine neutralité, preuve quand même que tout n’est pas à jeter avec l’eau du bain.
Passionnant, ça révolutionne de partout ! C’est même une remise en cause générale de la politique et de ses anciennes frontières qui vient de s’enclancher. Soyons fous : Il pourra peut-être en sortir du bon pour notre pays.
Nous verrons ce qui se passera au centre et au PS après les législatives.
Comme le disent les socialistes qui ont l’air d’avoir tous adopté la même formule creuse « Il leur faudra changer le logiciel » la simple mise à jour ne suffit plus. Ils risquent d’avoir besoin de nombreuses heures sups de brainstorming, heureusement pour eux bientôt détaxées.